À travers l’art et l’histoire, La vie et la mort selon Bruegel interroge également notre conception contemporaine de l’existence.
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Pour Pierre Bruegel, comme pour l’homme du XVIe siècle, la mort fait partie de la vie quotidienne. Cette conception, radicalement différente de celle d’aujourd’hui, s’exprime dans ses tableaux. À l’époque du peintre, la mort imprégnait la culture, l’art et la vie sociale. Elle n’était pas encore le sujet tabou qu’elle est devenue au XXe siècle.
En quoi le Triomphe de la mort est-elle une œuvre exceptionnelle ? Et que dire de la Dormition de la Vierge, du Suicide de Saül ou du Christ et la femme adultère ? Ces œuvres, parmi d’autres, nous plongent dans l’incroyable richesse de l’univers de Bruegel et dans la fascinante réalité de son époque.
À travers l’art et l’histoire, La vie et la mort selon Bruegel interroge également notre conception contemporaine de l’existence.
Vincent Delannoy Après Bruegel à Bruxelles (2019) et James Ensor à Bruxelles (2021), l’auteur nous propose un parcours passionnant dans l’œuvre de Bruegel, par une mise en perspective du thème de la vie et de la mort dans les Pays-Bas du XVIe siècle. Historien (KUL) et philologue (UCL), il nous révèle le monde visuel de Bruegel dans son contexte artistique, historique et culturel.
En savoir plusRipple-marks (1976) est peut-être le plus grave des livres de Muno.
Maxime Serebrakian, d’origine arménienne, suivra ce drame de loin. Mis au piano dès qu’il put monter sur un tabouret, il accompagna sa mère à Odessa (où il fit ses études) au lendemain du divorce de ses parents. Une quinzaine d’années plus tard, sa virtuosité lui vaudra de connaître les plus grandes scènes européennes, et bientôt celles des Etats-Unis : il y partit en tournée en compagnie d’une soprano de grand talent, à la veille de la Première Guerre mondiale.